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Le Journal de Montréal : Fuica Films explore un genre rare dans le cinéma québécois : l'horreur

Le journaliste renommé Maxime Demers du Journal de Montréal a eu l'occasion de mener une interview en tête-à-tête avec rien de moins que le PDG estimé de Fuica Films Pictures, Leonardo Fuica. La discussion portait sur le très attendu deuxième long métrage produit par notre société de production canadienne, intitulé "L'Énergie Sombre," qui a fait ses débuts en grande pompe en 2015, captivant les publics du Québec et d'ailleurs.

Le casting de "L'énergie sombre" sur le plateau de tournage
L'équipe de "L'énergie sombre" en tournage

Le réalisateur canadien Leonardo Fuica a réalisé un film d'horreur à petit budget intitulé "L'énergie sombre" qui explore des phénomènes paranormaux. Le film, mettant en vedette Isabelle Blais, Pierre-Luc Brillant, Émilie Leclerc, Tommy Lavallée et Sébastien Huberdeau, a été tourné en seulement sept jours avec des ressources limitées. Fuica met l'accent sur le fait que le film s'inspire de cas réels de phénomènes inexpliqués au Québec.


Selon Fuica, le Québec recense un nombre significatif de cas paranormaux inexpliqués dont la plupart des gens ne sont pas conscients. Il souhaitait attirer l'attention sur ces cas et a décidé de baser son film sur des événements réels. "L'énergie sombre" raconte l'histoire de deux étudiants qui font appel à un groupe d'enquêteurs du paranormal pour résoudre la mystérieuse disparition d'un jeune homme survenue il y a plusieurs années. L'enquête les conduit dans divers endroits qui semblent être hantés par des forces malveillantes.


Fuica explique que le film mélange habilement fiction et réalité en s'inspirant de cas réels où des étudiants ont été confrontés à des phénomènes mystérieux lorsqu'ils filmaient des documentaires dans des lieux hantés. Il a également intégré dans l'intrigue le concept d'énergie sombre, basé sur des recherches scientifiques.


Le film a été tourné dans un style de caméra subjective, semblable à celui des films d'horreur "found footage" populaires tels que "Le Projet Blair Witch", "REC" ou "Cloverfield". Fuica a estimé que ce style correspondait bien à l'histoire, et les acteurs, y compris Blais et Brillant, ont saisi avec enthousiasme l'opportunité de travailler dans ce genre de film.


En plus de produire le film, Fuica Films Picture a également relevé le défi de jouer le rôle de distributeur canadien. "L'énergie sombre" a été projeté dans quelques salles de cinéma à Montréal et au Québec, avec le soutien des cinémas Guzzo. Leonardo estime qu'il existe un marché pour les films d'horreur québécois, compte tenu de la popularité des films d'horreur américains au Québec et dans d'autres provinces canadiennes. Il espère que "L'énergie sombre" trouvera son public et contribuera à l'intérêt croissant pour les films d'horreur produits au Québec.


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